le 6 mars : appel décisif des catéchumènes

Les sept catéchumènes de notre diocèse se sont retrouvés à l’église des Cordeliers à Lons le Saunier pour une étape importante : leur appel décisif par lequel ils sont reconnus par notre évêque (représenté par le père Laurent Bongain, vicaire générale) comme prêts à être baptisés. Ce qu’ils seront lors de la veillée pascale le 16 avril au soir. Pour signifier cet appel ils ont inscrit leur nom dans le grand livre des catéchumènes.

Parmi eux trois sont lédoniens : Kendra, Sidaline et Sébastien. Ils vivront leur prochaine étape en vue du baptême le dimanche 20 mars à 09h30 à l’église de Crançot. Il s’agit de leur premier scrutin (ils en vivront trois).

Le scrutin est un rite pénitentiel dont le nom évoque le discernement entre la lumière et les ténèbres. En effet, pendant le carême les futurs baptisés sont invités, avec toute la communauté chrétienne, à la conversion, pour se tourner vers le Seigneur et se voir à sa lumière. (Le verbe scruter signifie : examiner attentivement pour découvrir ce qui est caché)

Message à l’occasion du jumelage des diocèses de Thiès et Saint Claude.

Chaque année, la Journée du Jumelage des diocèses de Thiès, au Sénégal, et de Saint-Claude se déroule le premier dimanche de l’Avent. A cette occasion Mgr André GUEYE, évêque de Thiès, et Mgr Jean-Luc GARIN, évêque de Saint-Claude, adressent conjointement le message suivant

Chers diocésains de Thiès et de Saint-Claude,

Vos évêques sont heureux de vous adresser ce message commun à l’occasion de l’Avent. Nous nous en réjouissons d’autant plus que cette nouvelle année liturgique nous donnera l’occasion de rendre grâce pour les 30 ans du jumelage qui unit nos deux diocèses. Une délégation de Jurassiens viendra célébrer Notre-Dame du Mont-Rolland au Sénégal le dimanche 6 mars prochain et une délégation de Thiès viendra célébrer cette fête en France, le dimanche 2 août 2022. Ce seront de belles retrouvailles malgré la pandémie, qui a paralysé le monde pendant des mois et dont les conséquences se font hélas encore douloureusement sentir. Nous espérons que cette nouvelle année verra nos pays et notre monde sortir de cette épreuve. Nous le demandons ensemble à Notre-Dame. Qu’elle veille sur chacun de vous.

Le pape François a ouvert en octobre dernier un processus synodal pour toute l’Église catholique. Synode vient d’un mot grec et veut dire « marcher ensemble ». Un synode est une célébration liturgique et une démarche spirituelle où tous, laïcs, religieux, religieuses, prêtres, diacres et évêques, nous nous mettons ensemble à l’écoute de la Parole de Dieu. Un synode nous appelle à nous mettre sous la conduite de l’Esprit Saint pour qu’Il illumine notre vie. Un synode est un acte de discernement pour chercher ensemble la volonté du Père et chercher concrètement les chemins à suivre pour l’annonce de la Bonne Nouvelle dans notre monde et le service de nos frères.

Voici 30 ans que nos diocèses « marchent ensemble », et nous allons continuer. Une parole de l’Écriture revient souvent pendant le temps de l’Avent : « Préparez le Chemin du Seigneur » (Is 40,3). La spiritualité de l’Avent est une spiritualité synodale dans la mesure où ce temps nous permet de préparer le chemin sur lequel nous marchons ensemble, le chemin par lequel le Seigneur vient à notre rencontre.

Comme Marie qui accueille le Verbe en son sein, nous sommes appelés, dans une marche synodale, à nous mettre à l’écoute des Écritures. Comme l’Esprit Saint couvre Marie de son ombre, nous croyons que l’Esprit Saint repose sur le Peuple de Dieu tout entier pour qu’il exerce le sensus fidei. Un synode n’a pas d’abord pour objectif de renouveler les structures ou les organisations, mais de nous laisser transformer par la rencontre avec Jésus. « La joie de l’Évangile remplit le cœur et toute la vie de ceux qui rencontrent Jésus. Ceux qui se laissent sauver par lui sont libérés du péché, de la tristesse, du vide intérieur, de l’isolement. Avec Jésus Christ la joie naît et renaît toujours. » (Evangelii Gaudium, n° 1). 

En ce temps de l’Avent, mettons-nous en route, « marchons ensemble » jusqu’à la crèche en attendant de nous retrouver, de « marcher ensemble », en mars et en août prochain pour célébrer Notre-Dame du Mont-Rol(l)and.

Nous demandons au Seigneur de vous bénir !

                                    Mgr André GUEYE                          Mgr Jean-Luc GARIN

                                    Évêque de Thiès                                Évêque de Saint-Claude

28° journées du jumelage de notre diocèse à celui de Thiès au Sénégal

Chaque année, la Journée du Jumelage des diocèses de Thiès, au Sénégal, et de Saint-Claude se déroule le premier dimanche de l’Avent. Mgr André GUEYE, évêque de Thiès, et le Père Raymond Monnoyeur, administrateur du diocèse de Saint-Claude, ont rédigé conjointement le message suivant qui s’adresse aujourd’hui à toutes les paroisses de nos deux diocèses.

MESSAGE POUR LE 1ER DIMNCHE DE L’AVENT

adressé aux diocésains de Thiès et de Saint-Claude

à l’occasion de la 28èmeJournée du Jumelage, ce 29 novembre 2020

Chers Diocésains de Saint-Claude et de Thiès,

Chaque année, nous fêtons notre amitié et notre fraternité à l’occasion du premier dimanche de l’Avent, « Journée du Jumelage ». Le contexte est certes difficile, mais nous, vos Pasteurs, vous invitons à la persévérance et à l’espérance. En effet, à la pandémie de Covid-19 qui a engendré beaucoup d’incertitude et de pauvreté, s’ajoute la tragédie du terrorisme et de l’extrémisme qui se sont violemment illustrés en France récemment par des crimes odieux et par la haine injustifiable. Nous pensons également aux victimes de la migration au Sénégal, avec les naufrages répétés de ces dernières semaines. Nous sommes attristés par tous ces fléaux et nous nous encourageons à nous soutenir dans la prière, la compassion et la solidarité. 

Nous saluons les gestes de sympathie posés de part et d’autre. Les messages de réconfort et les démarches de soutien multiformes, et surtout la communion dans la prière, sont autant d’actes simples qui soutiennent l’édifice de notre amitié.

Notre Jumelage est un cadeau du Ciel. Avec vous, nous rendons grâce à Dieu pour l’intuition et le travail abattu par nos devanciers qui ont posé les fondations de ce jumelage et ont construit cette relation dans la sérénité, la confiance et la patience. Le dernier en date est Mgr Vincent Jordy, archevêque de Tours. Nous lui souhaitons encore, avec reconnaissance, une épanouissante mission, et nous attendons, avec foi et dans la prière, la nomination du nouvel évêque de Saint-Claude.

Au courant de l’année écoulée, notre Jumelage s’est enrichi d’actions concrètes et bienfaisantes. La clôture du Jubilé d’or du Diocèse de Thiès a été vécue dans une réelle communion, dans la solidarité fraternelle et effective, avec l’importante délégation conduite par le Père Laurent Bongain, alors Vicaire général. Nous nous inclinons encore devant la mémoire de M. Serge Amiet qui nous a quittés, juste après cette visitation de Novembre 2019. Nous le confions à la miséricorde du Père et prions pour les membres de sa famille.

Au-delà de nos deux Églises, notre fraternité concerne nos deux peuples. Le pape François vient d’inviter les chrétiens en particulier à élargir les frontières de la fraternité, « pour donner à notre capacité d’aimer une dimension universelle capable de surmonter tous les préjugés, toutes les barrières historiques ou culturelles » (Fratelli Tutti, 83). Aussi osons-nous espérer l’avènement d’un monde où tous les hommes sont frères et vivent en harmonie. Notre espérance n’est pas une simple aspiration, mais un vrai témoignage de vie, vécu de la charité fraternelle. Le Temps de l’Avent renforce une telle espérance et un tel témoignage, en nous faisant comprendre les efforts et les conversions nécessaires. Faisons-en une occasion favorable pour progresser sur le chemin de l’amour et de la fraternité dans nos communautés respectives, entre nos diocèses et à l’égard de tout homme créé à l’image de Dieu. « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime » (Jn 15, 12-13).

A vous tous, chers diocésains de Thiès et de Saint Claude, nous souhaitons une bonne année pastorale et civile, avec la fin de la pandémie. Sainte célébration de la Journée du Jumelage.

       P. Raymond Monnoyeur                                                    + Mgr André GUEYE

       Administrateur du Diocèse de Saint-Claude                           Évêque de Thiès

Le Secours Catholique a besoin de nous!

Le Secours Catholique se mobilise pendant cette crise pour laisser ses locaux ouverts afin de pouvoir écouter et accompagner ceux qui sont les plus touchés. Cela se fait bien sûr dans le respect de protocoles stricts.

Une forte progression des besoins :
Une augmentation de 40% du nombre de personnes aidées depuis le début de la pandémie : accompagnement des personnes en précarité ou isolées par une aide matérielle, par un soutien téléphonique…
Un fort risque de diminution des moyens :
La collecte nationale ne pourra pas avoir lieu en novembre en raison du confinement qui ne permet pas la célébration publique des messes dominicales.
Les 200 bénévoles des 8 équipes du Secours Catholique du diocèse comptent sur vous pour pouvoir continuer à accompagner et aider durant cette crise sanitaire, sociale et économique !
Donnez-leur les moyens d’agir

  • en faisant un don par chèque à l’ordre de :

Secours Catholique à déposer dans votre paroisse ou à envoyer à
Secours Catholique – 21, rue Saint-Roch – 39800 Poligny.

Un reçu fiscal permettant de déduire de vos impôts jusqu’à 75% de votre don vous sera
envoyé sur demande.

Merci de votre générosité !

VOICI UN EXEMPLE DE CE QUE FAIT DANS LE JURA LE SECOURS CATHOLIQUE

SOUTENONS NOTRE EGLISE DIOCÉSAINE

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VOTRE DON DÈS MAINTENANT POUR LA COLLECTE DU DENIER !

La collecte du Denier, constituée du don des fidèles, permet de rémunérer les prêtres en activité et à la retraite, les séminaristes et les salariés du diocèse.

La campagne du Denier de l’Église devait être lancée en mars dans toutes les paroisses de notre diocèse de Saint-Claude. À cause du confinement et de l’impossibilité de célébrer des messes, ce lancement n’a pas pu se faire normalement. Ceci a conduit à un retard important au niveau de la collecte. Nous avons donc d’autant plus besoin de votre soutien maintenant !

Tout comme la quête lors d’une messe, le don au Denier doit s’inscrire dans la vie chrétienne de chaque fidèle. Ce geste de générosité est primordial pour que des femmes et des hommes puissent se consacrer entièrement à la mission de l’Église. Or, aujourd’hui, seulement un catholique sur dix participe à cette collecte, alors même que l’Église ne reçoit ni subventions, ni aides du Vatican.

Si vous ne donnez pas encore au Denier, nous vous invitons à penser à toutes les fois où l’Église a été là pour vous : une célébration, un temps d’écoute avec un prêtre, une préparation à un baptême ou un mariage… Pour qu’aujourd’hui et demain, l’Église puisse continuer à être présente auprès de tous, nous avons besoin de votre don.

Si vous êtes déjà donateur, nous vous remercions chaleureusement pour votre générosité. Vous avez peut-être l’habitude d’effectuer votre don en fin d’année. Pour 2020, nous vous invitons à anticiper votre soutien. En réalisant votre don dès maintenant, vous permettez au diocèse de mieux gérer sa trésorerie, déjà très affectée par les conséquences du confinement.

Comment faire un don ? Vous pouvez donner par carte bancaire sur
www.eglisejura.com

C’est pratique, rapide et sécurisé ! Un grand merci pour votre contribution !

Messe Chrismale ce soir à Poligny

La messe chrismale ne sera pas publique mais sera retransmise en direct sur YouTube et sur RCF ce mardi 2 juin à 18h30 :

  • sur la chaîne YouTube du diocèse : clic

  • sur les ondes de RCF Jura : clic

 

À titre exceptionnel, cette année la messe chrismale sera célébrée à la Collégiale de Poligny, en présence uniquement des prêtres et des diacres accompagnés de leurs épouses, ainsi que des responsables de services et des assistants des vicaires épiscopaux des 4 zones du Jura, de sorte que les fidèles du diocèse soient représentés. La célébration sera présidée par Mgr Bouilleret, archevêque de la Province de Besançon.

En raison du contexte que l’on connaît et du dispositif sanitaire strict qui est mis en place, le nombre de places a été extrêmement limité.

Bien évidemment, si l’on peut regretter que cette célébration, habituellement un grand moment de prière et d’unité pour notre diocèse, se passe dans de telles conditions, chaque baptisé est invité à faire mémoire de l’onction qu’il a reçue au baptême et à la confirmation pour participer à la mission du Christ, prêtre, prophète et roi.

 

message des évêques de France…

 

Notre pays, avec de nombreux autres, traverse une grande épreuve. Le chef de l’État nous appelle à laisser de côté nos divisions et à vivre ce temps dans la fraternité. C’est pourquoi nous avons voulu que ce message destiné en premier lieu aux catholiques s’adresse aussi à tous nos concitoyens sans distinction. 

Nous le faisons dans un esprit d’humilité, mais avec la certitude que la foi chrétienne a une mission spécifique dans ce monde et qu’elle ne doit pas s’y dérober. Nous pensons aussi à tous ceux et celles qui partagent avec nous la foi en Dieu et la conviction qu’Il accompagne notre vie. Nous pensons enfin à tous ceux et celles qui ne croient pas mais souhaitent que la solidarité et l’esprit de service s’accroissent entre les hommes. 

À tous, nous disons notre désir que notre communauté nationale sorte grandie de cette épreuve. Depuis bien des années déjà notre humanité a l’intuition qu’elle doit changer radicalement sa manière de vivre. La crise écologique nous le rappelle sans cesse, mais la détermination a fait largement défaut jusqu’ici pour prendre ensemble les décisions qui s’imposent et pour s’y tenir. Osons le dire, l’égoïsme, l’individualisme, la recherche du profit, le consumérisme outrancier mettent à mal notre solidarité. Nous avons le droit d’espérer que ce que nous vivons en ce moment convaincra le plus grand nombre, qu’il ne faut plus différer les changements qui s’imposent : alors, ce drame porteur d’angoisse n’aura pas été traversé en vain. 

Le mercredi 25 mars, à 19h30 

Un peu partout en France, les cloches de toutes les églises sonneront pendant dix minutes, non pour appeler les fidèles à s’y rendre, mais pour manifester notre fraternité et notre espoir commun. 

Elles sonneront comme elles ont sonné aux grandes heures de notre histoire, la Libération par exemple. En réponse à ce signe d’espoir, nous invitons tous ceux qui le voudront à allumer des bougies à leur fenêtre. Ce geste, qui est de tradition dans la ville de Lyon, est un signe d’espérance qui transcende les convictions particulières : celui de la lumière qui brille dans les ténèbres ! 

CE QUI SUIT S’ADRESSE MAINTENANT AUX CATHOLIQUES.

Mercredi 25 mars, nous fêterons l’Annonciation du Seigneur. Elle eut lieu à Nazareth, chez une jeune fille, Marie. Dans sa maison, le Ciel rencontre la terre ; dans sa maison, le salut du monde est conçu ; dans sa maison, une joie nouvelle apparaît, la joie de l’Évangile, une joie pour le monde: «Car rien n’est impossible à Dieu» (Lc 1, 37).

Cette année, sans l’avoir voulu, nous fêterons l’Annonciation, confinés, dans nos maisons ! Pouvons-nous célébrer cette fête plus en vérité, plus intensément, plus en communion?

Quand les cloches sonneront, le 25 mars, à 19h30 :

  • que chaque disciple de Jésus, dans sa maison, ouvre sa Bible (ou son ordinateur) et lise, seul ou en famille, le récit de l’Annonciation, dans l’Évangile selon saint Luc, chapitre 1, versets 26 à 38.
  • Et qu’au même moment chaque maison allume une ou plusieurs bougies, à sa fenêtre, pour dire son espérance et conforter celle de ses voisins. Ouvrir sa fenêtre, allumer une bougie est un geste de communion que nous voulons offrir à toute la nation pour qu’elle rende hommage aux défunts, victimes du Covid-19, et aussi à ceux qui donnent de l’espoir, soignants, autorités mais aussi famille, amis, voisins.
  • Nous prierons en communion par l’intercession de la Bienheureuse Vierge Marie en nous unissant au chapelet récité, à Lourdes, chaque jour à 15h30. Nous demanderons à Marie :

1ière dizainede nous protéger et de nous aider à mieux accueillir Jésus dans nos maisons, dans nos cœurs, dans nos vies comme elle l’a fait elle-même pour nous: «Que tout m’advienne selon ta parole» (Lc 1, 38) – 

2ième dizaine Nous confierons à Marie qui devient Mère du Sauveur et qui deviendra notre Mère, nos frères et sœurs malades, nos frères et sœurs soignants, notre communauté humaine éprouvée. Nous lui dirons que nous voulons les aimer comme nous aimons Jésus, «le fruit béni de ses entrailles» (cf. Lc 1, 42), Lui qui a pris sur lui nos souffrances et nos péchés .

3ième dizaine: Nous pourrons aussi confier nos craintes et nos doutes à celle qui fut toute bouleversée et s’interrogea: «Comment cela va-t-il se faire?» (Lc 1, 34). La peur d’une vie remise à Dieu, différente de celle dont nous rêvons, rejoint la peur de la mort. Marie la connaît de l’intérieur et nous pouvons lui dire sans cesse: «Prie pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort», comme l’Église nous l’a appris.

4ième dizaine Enfin, poussés par l’Esprit, nous pourrons dire à Jésus: «Guéris-nous !» Nous ne savons pas quelle sera la réponse sinon que, dans quelques jours, nous fêterons la passion, la mort et la résurrection de Jésus, le premier-né d’une multitude de frères qu’il fait entrer dans la vie de Dieu.

5ième dizaine à vos intentions particulières.

C’est pourquoi nous vous demandons de relayer ce message très largement autour de vous, par tous les moyens autorisés à votre disposition !

LES ÉVÊQUES DE FRANCE

invitation de notre administrateur le père Raymond Monnoyeur.

La décision ayant été prise de ne plus célébrer la messe, ni les baptêmes, ni les mariages dans les églises et comme le temps de carême le propose, je vous invite à la méditation personnelle, à échanger en couple, en famille,  avec des proches :

  • Cette épidémie qui nous prend à contre-pied, que me fait-elle découvrir de la fragilité de la vie et de son prix ? De mes forces et de mes faiblesses ? De l’influence des autres sur ma vie ?
  • Cette épidémie, que me fait-elle découvrir de la solidarité qui unit les hommes ? Des conceptions de la vie qui s’expriment ?
  • Cette épidémie, à quoi me rend-elle sensible quand je pense à ce que vivent d’autres personnes dans d’autres pays, sur d’autres continents ?

Cette réflexion peut se poursuivre en relisant les premières lectures et les évangiles de ces dimanches de carême.

En communion avec vous, unis dans la prière, restant à votre disposition pour tout renseignement.

Raymond Monnoyeur